» Le remède au mélancolique, c’est la musique et la beauté »
Alfred de Musset
Parfois, ça me prends, j’ai besoin de dessiner en grand
Alors je choisis le premier support venu et je laisse glisser mes stylos, sans filet, sans retour en arrière, sans savoir où je vais… juste pour le plaisir d’effleurer la matière, tracer des courbes, allonger les lignes du bout de mes doigts
C’est pour moi, une belle métaphore de la vie
Accepter de lâcher prise sur le résultat, accepter les défauts, les loupés du pinceau sans pour autant renoncer.
C’est faire face au subtil équilibre des courbes qui s’entremêlent entre ombre et lumière.
C’est parfois savoir perdre cet équilibre un instant pour le retrouver plus tard, encore plus beau.
Finalement, c’est regarder le dessin terminé et être soi-même surpris du résultat qui n’est jamais le même, jamais celui attendu..
Ce n’est ni vraiment bien, ni vraiment mauvais…
C’est simplement comme ça devait être!
Pep’s
PS : Envie de me contacter pour un projet en macro ou en micro? C’est par ici …